Réalisé par Léa Pool |
Canada / Suisse / France, 1994 (fiction, 92 minutes, couleurs, français) |
Autres |
Image : © Office national du film du Canada |
Description du film [en anglais] : « After a breakup with her lover, Catherine decides to leave Montreal. With her young daughter, she takes the train to Vancouver. The long journey gives her time to think things over... and to form a relationship on the rebound. Vincent is also going to Vancouver, planning to meet his girlfriend there, but he and Catherine find themselves increasingly attracted to each other. » -- Catpics (source)
Description du film : |
Générique (partiel) : | |
Scénario : | Léa Pool |
Source originale : | Fragments d'un discours amoureux, un roman de Roland Barthes |
Produit par : | Denise Robert, Alfi Sinniger, Peter Baumann, Yves Rivard, Daniel Louis |
Interprètes principaux : | Valérie Kaprisky, Jean-François Pichette, Jolianne L'Allier-Matteau, William Jacques, Mathew MacKay, Élise Guilbault, Mimi d' Estée, Lucien Deslongchamps, Marc Gélinas, Gregory Hlady |
Images : | Pierre Mignot |
Montage images : | Michel Arcand |
Musique : | Zbigniew Preisner |
Société de production : | Catpics Coproductions, Cinémaginaire Inc., Office national du film du Canada / National Film Board of Canada |
« J'ai toujours été fascinée par les trains et l'espace nord-américain. On
voit des trains dans plusieurs de mes films. Je me disais que c'était un lieu fantastique pour raconter une histoire parce que le train fait appel à
l'imaginaire. C'est un lieu où on peut rêver. »
-- Léa Pool
(source)
« Je traverse une période heureuse de ma vie, et ça m'a donné envie de faire enfin un film heureux, de parler d'un bonheur presque palpable. J'ai cherché ce qui nous fait le plus vibrer dans la vie, et conclu qu'il n'a rien de plus exaltant que la naissance d'un sentiment amoureux. »
-- Léa Pool
(source)
« Mon personnage se disait: 'Mon Dieu, faites que ce train ne s'arrête jamais'. Et je me disais de même. Comme l'homme idéal dans la vie, pour une actrice, il est rare de rencontrer ainsi le film idéal. »
-- Valérie Kaprisky
(source)
« Trois éléments parmi d'autres contribuent au succès de ce film [Mouvements du désir]. Il s'agit de l'idée riche et féconde du train, de la photographie lumineuse et fort expressive de Pierre Mignot et, par-dessus tout, de cette présence magique et unique autour de laquelle gravite tout le film: Valérie Kaprisky, bien sûr. »
-- Luc Perreault
(source)