Réalisé par Deepa Mehta |
Canada / Royaume-Uni, 2012 (fiction, 146 minutes, couleurs, anglais / hindi / ourdou) |
Autres |
Image : © Mongrel Media |
Description du film : « 'Nés avec l'indépendance, prisonniers de l'histoire.' Saleem et Shiva, son jumeau substitué à un enfant volé, sont nés à minuit le 15 août 1947, à la seconde précise où l'Inde obtenait finalement son indépendance de la Grande-Bretagne. On dit de ces enfants nés à minuit ce jour-là qu'ils ont des pouvoirs spéciaux et que leurs vies sont dès lors intimement liées au destin même de l'Inde, ce pays où se côtoient sans cesse le banal et le fantastique. Amours interdites, guerres, trahisons et soulèvements politiques bouleversent la vie de Saleem, de sa famille et de tous les enfants de minuit. Si l'humanité même de Saleem et tous ses rêves semblent anéantis, l'espoir, lui est toujours présent... Basé sur le bestseller Les enfants de minuit, de Salman Rushdie, qui a remporté le Booker Prize, le film raconte une histoire finement tissée et d'une grande humanité, à la fois intimiste et épique, comique et magique. » -- Téléfilm Canada (source) |
Générique (partiel) : | |
Scénario : | Salman Rushdie |
Source originale : | Midnight's Children, un roman de Salman Rushdie |
Produit par : | David Hamilton, Elizabeth Karlsen, Doug Mankoff, Dilip Mehta, Salman Rushdie, Steven Silver, Andrew Spaulding, Neil Tabatznik, Stephen Traynor, Robert Wertheimer, Stephen Woolley |
Interprètes principaux : | Satya Bhabha, Shahana Goswami, Rajat Kapoor, Shabana Azmi, Ronit Roy, Siddharth, Seema Biswas, Shriya Saran, Kulbhushan Kharbanda, Darsheel Safary, Anita Majumdar, Shikha Talsania, Rahul Bose, Zaib Shaikh, Samrat Chakrabarti, Soha Ali Khan, Anupam Kher, Chandan Roy Sanyal, Suresh Menon |
Narrateur : | Salman Rushdie |
Images : | Giles Nuttgens |
Montage images : | Colin Monie |
Musique : | Nitin Sawhney |
Société de production : | David Hamilton Productions, Hamilton-Mehta Productions, Number 9 Films |
« Deepa et moi étions sur la même longueur d'onde. Nos deux listes de scènes à conserver à tout prix dans le film coïncidaient. Mais il fallait couper aussi dans le gras, sacrifier des personnages, des pans entiers. Je crois pourtant que l'essentiel est resté. »
-- Salman Rushdie
(source)