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La giboulée

Réalisé par Diane Dupuis
Canada, 1965 (fiction, 42 minutes, noir et blanc, français)

Description du film :
« Ce film amateur des années soixante suit les mésaventures de quatre jeunes Montréalais qui partent faire le tour de la Gaspésie durant leurs vacances d'été. Pierre, le leader du groupe, fuit une relation fragile qu'il retrouve à son retour. Le film repose en grande partie sur la générosité de tous ceux qui figurent au générique, pour la plupart amis de la cinéaste. Certains devinrent célèbres plusieurs années plus tard. »
-- Cinémathèque québécoise (source)

Générique (partiel) :
Scénario : Diane Dupuis
Produit par : Diane Dupuis
Interprètes principaux : André Paquette, Michel Laramée, Bernard Packwood, Michel Brisson, Charles Tapp, René Joseph, Claire Wojas, Lucien Forget, Denis Degrasse, Michel Desautels, Gilbert Sicotte, Mireille Tremblay, Jean Labelle, Yvan Raymond
(sources)

Citation de la réalisatrice

« J'ai écrit le scénario [de La giboulée] dans le cadre d'un concours auquel je voulais participer. [...] Je suis restée dans ma chambre pendant trois jours pour écrire le scénario que j'ai ensuite soumis au concours. J'ai mentionné le 8 mm, car c'est ce que j'avais appris à l'école. On en parlait aussi dans Séquences. Le projet a été accepté et on m'a prêté de l'équipement ... 8 mm. On m'a aussi offert gratuitement les services du caméraman Jean Bélanger. [...] Il fallait faire avec très peu d'argent. Toute l'équipe travaillait gratuitement. J'étais choyée. J'ai voulu faire un film et tout le monde a embarqué. À bien y penser, j'étais vraiment chanceuse parce que même jeune comme j'étais, avec toute la gang de gars et le caméraman, tout le monde m'écoutait ! »
-- Diane Dupuis (source)

Citation sur La giboulée

« [La giboulée est] pertinent, d'un point de vue sociologique, en ce qu'il témoigne des tribulations d'un groupe d'adolescents des années 1960. Les déboires sentimentaux de l'un d'entre eux concourent à briser le clan. Une relation sexuelle précoce et la perspective d'un éventuel avortement occupent les dernières minutes du film [...]. »
-- Guillaume Lafleur (source)


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