Citation :
« Juste avant la séquence d'ouverture [de Une manière de vivre] vient un prologue montrant Spinoza affairé à sa plume et à son encrier. Il reviendra ponctuellement, tant à l'image qu'en voix hors champ, des parcelles de ses écrits du XVIIe siècle résonnant avec une acuité confondante dans le présent des protagonistes. Au départ, ce recours à Spinoza comme personnage-narrateur laisse perplexe. Il faut ici faire confiance à la cinéaste. En effet, lors de l'épilogue, Micheline Lanctôt fait avec son Spinoza quelque chose de tout simple qui justifie soudain tout ce qui a précédé. »
-- François Lévesque
Source :
LÉVESQUE, François. « Une manière de vivre », critique de Une manière de vivre, Le Devoir, 1 novembre 2019.