Citation :
« Racontée avec un détachement hitchcockien, cette nébuleuse affaire de meurtre qui n'en est pas un, d'identités confondues, découle de l'importance de déneiger son escalier. Elle est construite sur le modèle d'un sketch radiophonique illustré, une musique d'orgue entretenant le mystère. Toute conclusion moralisatrice nous est épargnée dans cette drôle d'histoire drôle, un rien cynique. »
-- Louise Beaudet
Source :
BEAUDET, Louise. « Traverses : le cinéma image par image »
,
dans Les cinémas du Canada : Québec, Ontario, Prairies, côte Ouest, Atlantique, sous la direction de Sylvain Garel et André Pâquet, Paris, Centre Georges Pompidou, 1992.
(p. 249)