Description du film : « Simone Beaulieu, devenue Mère Augustine, dirige avec succès un petit couvent sur le bord du Richelieu. Passionnée, résiliente, Mère Augustine met toute son énergie et son talent de musicienne au service de ses élèves. Lorsque sa nièce Alice lui est confiée, c'est non seulement une nouvelle pianiste prodige qui fait son entrée, mais aussi une jeune femme dont les aspirations sont au diapason de l'époque et qui rappelle à Mère Augustine un passé qu'elle avait cru mis de côté définitivement. L'école, malgré sa petite taille, est un joyau musical qui rafle tous les grands prix de piano. Les murs respirent la musique. Matin, midi et soir, du grand couloir à l'escalier principal, résonne un flot de gammes, d'arpèges, de valses de Chopin et d'inventions de Bach. Et, à défaut de prier, on chante!... Mais lorsque le gouvernement du Québec instaure un système d'éducation publique au milieu des années soixante, l'avenir de Mère Augustine et de ses Soeurs est menacé. » -- Lyla Films
(source)
Description du film : « Québec, 1968. Pendant que d'autres cherchent la plage sous les pavés, le gouvernement du Québec entérine définitivement la séparation de l'Église et de l'État tout en instaurant un système d'éducation publique. Au grand dam de l'institution catholique jusque-là maîtresse de la formation des chères têtes blondes. C'est dans ce contexte que mère Augustine va se battre avec ferveur pour préserver son couvent près du Richelieu, où elle insuffle aux jeunes filles—et en particulier à sa nièce—sa passion pour la musique et le piano. Se tenant encore une fois aux côtés d'héroïnes luttant pour leur désir de liberté dans un monde régi par les contraintes, Léa Pool (Anne Trister, Emporte-moi) use de musiques sublimes pour mieux suivre le combat de cette femme interprétée par une Céline Bonnier mystérieuse, insaisissable et incroyablement attachante. » -- Québec Cinéma
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